Louange & prière – Volume 326

Le 21 juin 2018
 
 
Chers amis,
 

Karen et moi avons été attristés d’apprendre le décès d’Éric Clayson, qui a été pasteur au Québec pendant plusieurs années avant de retourner en Ontario, avec son épouse, Mary. Nous nous souviendrons du Pasteur Clayson comme étant une des personnes les plus encourageantes que nous avons connues. Après avoir visité l’église de Roxton Pond, où il était pasteur, nous sommes restés en contact pendant plus de trente ans et étions toujours heureux de le voir ainsi que Mary lorsque nous rendions visite à la famille et aux amis du sud de l’Ontario. Le pasteur Clayson est allé au ciel le jour de la fête des pères, ce qui était remarquable car lui et Mary ont été bénis avec plusieurs enfants.

Un des cadeaux que j’ai reçus dimanche dernier était un livre de Timothy Keller intitulé  « The Songs of Jesus ». Dans ce livre de dévotion, Keller regarde chaque psaume et puisque nous sommes presque au milieu de l’année, la page pour le 17 juin est tiré du Psaume 73:10-14 qui est près du milieu des 150 psaumes. Keller observe : « Le psalmiste conclut qu’une bonne vie ne lui a pas apporté la richesse ou la liberté des ennuis (verset 12) et donc a été ‘en vain’ (verset 13). Mais cela démasque son cœur. Son obéissance n’était pas un moyen de plaire à Dieu mais plutôt un moyen d’amener Dieu à lui plaire ». Cela me rappelle l’expression « amis des beaux jours » qui décrit les gens qui seront là lorsque les circonstances seront favorables mais pas quand les difficultés surviennent.  Karen et moi sommes très reconnaissants pour les amis comme les Claysons, qui nous ont encouragés pendant de nombreuses années.

En écrivant à propos d’Asaph, l’auteur du Psaume 73, le Dr David Jeremiah écrit : « Il avait un cœur pur et des mains innocentes. Mais il y avait un temps où il ne pouvait pas percevoir la bonté de Dieu. À un point de douleur, de pression et de problèmes dans sa vie, cela lui dérangeait si terriblement qu’il créait un profond ressentiment dans son cœur … par la conclusion de ce psaume, Asaph avait réalisé : il avait Dieu au ciel, sa portion ‘pour toujours’, tandis que ceux qui sont loin de Dieu et qui l’ont abandonné perdront leurs âmes dans l’éternité (73:26, 27). La sienne était le dilemme humain classique, celui de Dieu était la solution éternelle ». Si vous ne vous êtes pas repenti de vos péchés et si vous ne croyez pas en Christ comme votre Sauveur, n’attendez pas un « meilleur moment ». Il n’y a pas de meilleur moment que maintenant pour recevoir le don du pardon et de la vie éternelle.

Ce matin, quelque chose d’inhabituel est arrivée. J’ai entendu le bruit de l’eau courante pendant que je travaillais dans mon bureau à domicile. Je pensais que Karen était dans la douche, mais quand je l’ai vue dans le salon, j’ai pensé que je devais regarder dehors. Devine quoi? L’eau jaillissait d’un tuyau d’arrosage. J’avais vu une « boule » dans le tuyau il y a une semaine, mais j’avais oublié de m’en occuper. Comme nous avions une buse de pulvérisation à l’extrémité du tuyau, il n’y avait pas eu d’eau qui sortait jusqu’à ce que le tuyau ait un trou. Je sais maintenant que nous ne devrions pas laisser le robinet « ouvert » tout le temps, parce que des choses folles peuvent arriver. Je suis reconnaissant à Dieu (et à quiconque priait pour moi ce matin) que j’étais chez moi … ça aurait pu être une deuxième piscine dans l’arrière-cour.

Écriture pour le week-end : « Pour moi, m’approcher de Dieu, c’est mon bien : Je place mon refuge dans le Seigneur, l’Éternel, afin de raconter toutes tes œuvres. » Psaume 73:28 (LSG)
 
Pensée pour le week-end : « En tant que notre Conseiller, Jésus nous encourage … un bon conseiller ne nous protège pas des problèmes de la vie; il nous prépare plutôt aux problèmes de la vie et nous aide à les affronter honnêtement et courageusement … Nous ne laissons pas notre Conseiller simplement avec de bons conseils ; il nous envoie avec la force dont nous avons besoin pour faire ce qu’il nous dit de faire. » – Warren W. Wiersbe (tiré de son livre « His Name Is Wonderful »)
 
 
Dans sa grâce,
 

Steve Frank